Une journaliste de France Info de 31 ans foudroyée par un cancer

La rédaction
Démocratie Participative
24 décembre 2023

Sûr et efficace.

France Info :

Elle détestait qu’on la qualifie de battante. « Je ne suis pas une battante. En fait, je n’ai juste pas le choix », disait-elle. Clémentine Vergnaud, 31 ans, journaliste à France Info, est décédée samedi 23 décembre au matin. Elle était atteinte depuis plus un an et demi d’un cancer des voies biliaires. La rédaction de franceinfo a perdu l’une des siennes, une femme merveilleuse, une journaliste de grand talent, une amie pour beaucoup.

Qu’est-ce qui a commencé il y a un peu plus d’un an et demi ?

Ce type de cancer est rare, est associé à l’âge et ses comorbidités. C’est typiquement le genre de pathologies qui a explosé depuis que les goyim ont pris leurs doses de Pfizer.

Pendant ces longs mois où elle a combattu la maladie, Clémentine a fait preuve d’un courage incroyable, d’une détermination sans faille et d’une immense joie de vivre. Sa force de caractère et sa lucidité, nous les avons tous entendues dans le podcast qu’elle avait tenu à faire pour raconter sa vie avec la maladie.

Dans ce podcast, elle avait souhaité évoquer ses doutes, ses espoirs, et laisser un témoignage qu’elle espérait utile pour tous ceux qui, comme elle, se retrouvent en lutte contre la maladie. « Je veux laisser une trace », nous disait-elle, pour que son passage parmi nous ne soit pas qu’une parenthèse dans nos vies. En journaliste, elle racontait sa maladie, son histoire dans celle d’une histoire universelle. Elle a apporté beaucoup aux malades, à leurs proches, aux soignants. Avec une telle justesse des mots et des émotions.

« Jusqu’au dernier moment, Clémentine n’a pas voulu céder à la fatalité. Son exemple restera en nous, son sourire gravé à jamais. »

Jusqu’au dernier moment, Clémentine a voulu profiter de ses « moments dorés » : chaque plaisir, chaque bonheur qui passait à sa portée. « La fin, elle est connue, nous disait-elle, il n’y a pas trop de mystère. Mais il y a tout ce qui va y mener et je n’ai pas envie de gâcher ces moments. Aucun de ces moments. »

Clémentine, c’était un rire, un sourire, une voix. Et cette voix, parce que c’est ce qu’elle a voulu, nous continuerons à l’entendre.

Ses collègues journalistes l’aimaient peut-être, mais pas au point de dénoncer l’éléphant au milieu du salon.

Leur carrière passe avant leurs amis.

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