Une zoomeuse gendarme monte un réseau de prostitution pour se payer sa chirurgie esthétique

La rédaction
Démocratie Participative
24 octobre 2023

Qui aurait pu s’attendre à ce que les femmes dans la gendarmerie soient littéralement des putes ?

L’impunité des traînées est désormais un fait.

Rien de plus normal dans une vaginocrature.

Actu17 :

Une affaire de proxénétisme ébranle la gendarmerie en Saône-et-Loire : une jeune gendarme de 20 ans a été condamnée mercredi dernier à six mois de prison avec sursis au tribunal correctionnel de Mâcon (Saône-et-Loire) pour avoir orchestré un réseau de prostitution, rapportent Le Bien Public et 20 minutes.

La jeune femme s’était lancée dans cette activité illicite dans le but de financer une opération de chirurgie esthétique. Un quinquagénaire qui lui prêtait des appartements a été condamné à quatre ans de prison, dont deux avec sursis probatoire, tandis qu’un autre homme de 23 ans, qui assurait la sécurité des prostituées, a écopé de deux ans de prison, dont un avec sursis probatoire. En tout, sept personnes ont été jugées dans cette affaire. Six d’entre elles ont été condamnées avec des peines allant de six mois à quatre ans de prison.

L’histoire débute lorsque la jeune gendarme s’inscrit sur un site spécialisé mettant en relation des clients et des prostituées. Elle se rapproche d’un homme de 52 ans qui lui prête des appartements pour ses activités tarifées. Rapidement, le duo se lance dans le proxénétisme, recrutant d’autres femmes pour vendre leurs services. Au total, sept jeunes femmes auraient vendu leur corps à Mâcon, Saint-Laurent-sur-Saône et Mulhouse. Le quinquagénaire récupérait 50% des gains générés par la prostitution. Un autre homme de 23 ans était chargé de la sécurité des prostituées.

La jeune gendarme, surnommée « la boss des filles », était la tête pensante du réseau qui impliquait également quatre autres personnes, dont une mineure. Le ministère public s’est dit étonné de l’ignorance de la loi par certains prévenus, rappelant que « le proxénétisme est interdit en France » et que « nul n’est censé ignorer la loi ».

Vous avez bien lu.

C’est la traînée de la Gendarmerie la mère maquerelle à l’origine du réseau et de sa gestion, mais c’est le type qui dépanne des appartements qui prend 4 fois plus.

La pute, elle, est libre.

Inutile de poser trop de questions sur ce « jugement ».

Ces magistrates sont également des putes à temps partiel et elles couvrent leur collègue.

Et dire que nous sommes censés haïr l’Iran parce qu’il se défend contre ce péril mortel.

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