Vincent Lapierre visite la ville écolo-gauchiste grenobloise

Sigmar Polaris
Démocratie Participative
01 novembre 2022

 

Le dernier reportage de Vincent Lapierre à Grenoble est crépusculaire.

La ville de l’écolo-marxiste Piolle est dégueulasse.

Tout est pété ou en voie de l’être. Des tags infects sur tous les murs. Il y a des métèques partout, au point que même les Maghrébins n’en peuvent plus des Maghrébins. Des sorcières tziganes armées de surins sortent des égouts, les derniers Blancs espèrent ne pas finir avec un tournevis dans le dos avant de pouvoir se tirer.

Sauf les bobos qui ne comprennent pas de quoi on leur parle.

Boomeuse hardcore spotted.

« Mais ailleurs aussi, hein… la diversité de la population, c’est tout ça aussi Grenoble ! »

Il y a 55 ans, la ville se modernisait entièrement pour les Jeux Olympiques d’Hiver.

Personne, à l’époque, n’imaginait que 50 ans plus tard, la ville serait un bouge oriental crasseux peuplé de bicots, de cafres, de roms où les fusillades seraient la norme et la lutte pour la suprématie des femmes à bites l’idéologie officielle de la mairie.

Ce n’est pas que Grenoble, évidemment, mais c’est bien dégénéré.

Une bombe nucléaire aurait des effets moins dévastateurs que l’immigration du tiers-monde.

Sur ce, le mot de la fin à Éric Piolle, le cinglé à la tête de l’asile.

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