Ce machin marron vous explique son secret pour ne jamais payer ses voyages en train

La rédaction
Démocratie Participative
04 janvier 2023

 

Cela pourrait être anecdotique, mais c’est surtout symptomatique.

Cette créature marron résume à elle seule pourquoi les pays d’Afrique et d’Orient resteront éternellement des trous à rats ravagés par la famine.

L’argent que bogmoule a, peu importe sa provenance, est dépensé en fringues et en babioles ludiques pour renvoyer l’image d’un statut social avantageux et ainsi sauter des traînées.

Derrière ce bluff, la culture génétiquement ancrée de la triche, de la resquille qui nous rappelle que ces races, malgré leur grand discours sur la colonisation, l’esclavage, le racisme du grand méchant Blanc, s’entredévorent impitoyablement depuis des millénaires plutôt que de se fédérer afin de bâtir quoi que ce soit de fonctionnel.

La seule exception étant l’Égypte antique dont la race originelle a été détruite par l’invasion des populations sémites et négroïdes, produisant une forme bâtarde dénuée de qualités.

Le côté post-égyptien ressort bien

La base de toute société est la confiance. Ces races l’attaquent à la première seconde où elles débarquent, cherchant les solutions de facilité puisque inaccessibles à la culture du travail que seules les races aryennes et asiatiques possèdent.

Le résultat, face à leur goût du vol, de la fainéantise et du mensonge, c’est que la défiance s’installe partout. Toutes les tâches les plus élémentaires deviennent longues et pénibles à réaliser, car tout doit être vérifié par l’homme blanc. La productivité stagne, puis ne tarde pas à s’effondrer.

Dans ce cas d’espèce, un autre fléau s’installe : pour éviter la confrontation, les Blancs aux commandes mettent la pression aux travailleurs blancs pour qu’ils épongent le déficit généré par la culture du vol des races parasitaires.

Les resquilleurs allogènes sont laissés libres de déambuler gratuitement tandis que l’homme blanc est sans cesse plus surveillé. Progressivement, cela devient la nouvelle forme de gouvernement, autoritaire et racialement injuste, qui pèse sur les épaules de l’autochtone, bête de somme corvéable et docile, car justement domestiquée et fonctionnelle.

Insécurité, qualité du service en chute libre, suspicion générale, la spirale de la décadence raciale produit ses effets décivilisateurs. En quelques décennies, la jungle raciale s’est installée.

Alors ?

Il est absurde de jouer les règles du jeu dans un tel système, centralisé et redistributif, qui ponctionnera toujours l’homme blanc. Il faut apprendre à devenir une perte nette pour l’État. Moins il gagner d’argent avec vous, plus vite il tombera, privant les parasites de revenus.

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