Concours du sale juif de l’année 2023 : le loser complet Elon Musk bannit sans raison le compte de Democratie Participative

La rédaction
Démocratie Participative
28 décembre 2023

Personne ne comprend rien à Twitter, rebaptisé « X » par Elon Musk pour une raison que personne ne comprend non plus.

Notre compte a été censuré après 3 semaines sans aucune explication.

Trois jours plus tôt, l’énorme porc juif Meyer Habib, un terroriste international  infiltré au parlement français, avait exigé que le compte de DP soit censuré auprès du pire ministre de l’intérieur de toute l’histoire de France, Gérald Moussa Darmanin.

Le prétexte était que notre sondage du « sale juif de l’année 2023 » était très populaire.

Ce concours est parfaitement légal aux USA où les serveurs de Twitter se trouvent et s’il a été masqué en France et dans l’UE, il devait théoriquement resté en ligne pour les autres usagers, notamment dotés d’un VPN.

Baka !

Cette entreprise est si mal gérée que les appels, pourtant prévus, ne reçoivent aucune réponse, même négatives.

Il n’y a aucune visibilité et je ne vois pas qui voudrait vraiment investir de réels efforts dans la construction d’un compte qui peut être suspendu du jour au lendemain, sans explication de la part des services de la boîte.

Il n’y a pas non plus d’intérêt à ressasser sans cesse des banalités sur le fait que les noirs sont stupides et que les arabes sont violents. Le seul sujet véritablement utile et révolutionnaire à aborder, ce sont le rôle des juifs dans la structure du pouvoir occidental.

C’est aussi le seul sujet absolument interdit sur Twitter.

Musk a donc censuré notre compte parce que ce gnome maléfique sans race de Darmanin a pleurniché pour le compte des juifs qui sont universellement haïs. Il semble donc qu’une ligne téléphonique secrète existe entre le gouvernement de Macron et Musk dont le seul but est de faire les volontés des juifs les plus sanguinaires de France.

C’est particulièrement extravagant quand on y pense.

C’est également odieux.

D’une manière plus générale, la gestion de Musk est si chaotique que l’absence de gestion serait plus efficace. Musk a régulièrement été confronté à ses incohérences et ses mensonges, notamment lorsqu’il s’est mis à censurer personnellement des comptes, comme celui de Kanye West, ou lorsqu’il a décrété que « Palestine libre du Jourdain à la mer » était un slogan génocidaire, et ce au beau milieu d’un massacre de masse commis par les juifs à Gaza.

Pire, il a délégué la collecte de données personnelles très sensibles aux services de renseignement israéliens.

Bref, Twitter n’a plus de modération, à la place il a l’arbitraire juif le plus pur, négocié directement au cas par cas entre l’équipe de Musk et cette race criminelle.

Hélas pour Musk, complaire aux juifs n’est jamais assez.

En fait, c’est l’inverse. Plus on complaît aux juifs, plus ils extorquent.

Et c’est c’est ce qui se passe en ce moment même.

TF1 :

Les Européens vont-ils bientôt devoir se passer de X, anciennement connu sous le nom de Twitter ? Des publications comme celle-ci affirment que l’Union européenne (UE) cherche à se débarrasser du réseau social désormais détenu par Elon Musk. Et que Bruxelles, via son commissaire européen au numérique Thierry Breton, prépare son « interdiction pure et simple en Europe ».

Cette rumeur renvoie à un texte bien précis : le Digital Services Act (DSA), ou Règlement des services numériques, en vigueur pour les plateformes depuis le 25 août dernier. Comme développé ici, le texte contraint désormais deux moteurs de recherche et 17 plateformes, dont X, à lutter contre les contenus mensongers ou violents. Concrètement, il les oblige à proposer un outil à leurs utilisateurs pour signaler les contenus illicites, susceptibles d’être effacés, et à prendre les mesures nécessaires dans la foulée : autrement dit, leur retrait ou leur blocage.

On appelle ça la censure, oui.

Or, X s’est particulièrement démarqué par son laisser-faire à propos de la désinformation entretenue sur son support. Dès le début du conflit israélo-palestinien, la plateforme a même joué un rôle crucial dans la prolifération des fausses nouvelles. « Lorsque vous recevez des notifications de contenu illégal dans l’UE, vous devez agir rapidement, avec diligence et objectivité et retirer le contenu en question lorsque cela est justifié », avait alors rappelé Thierry Breton à Elon Musk.

Les seules fausses nouvelles connues sont ces histoires de bébés décapités ou jetés dans des fours. Elles ont été démontées à chaque fois en quelques jours grâce à une discussion publique relativement libre.

Bruxelles ne veut pas de discussion libre au sujet des mensonges juifs.

Comme à propos de cette thèse que l’on appelle habituellement « l’holocauste ».

Depuis, la Commission européenne a annoncé l’ouverture d’une enquête formelle à l’encontre du réseau social afin de vérifier sa « lutte contre la diffusion de contenus illégaux », « l’efficacité des mesures prises pour lutter contre la manipulation de l’information sur la plateforme », les « mesures prises par X pour accroître la transparence de sa plateforme », et « une conception suspectée de l’interface utilisateur », en particulier les coches bleues attribuées à des comptes peu fiables. Cette annonce faite par Thierry Breton le 18 décembre constitue une première depuis la mise en place du DSA, et donne de véritables pouvoirs de contrôle et de sanctions à la Commission européenne.

« Prenez-vous des mesures contre d’autres médias sociaux ? Parce que si vous rencontrez ces problèmes avec cette plateforme, et qu’aucun n’est parfait, les autres sont bien pires », lui a d’abord répondu Elon Musk, friand des provocations sur sa plateforme, avant que le compte de sécurité du groupe ne se fende d’un communiqué plus conventionnel et assure que « X reste déterminé à se conformer à la loi sur les services numériques et coopère au processus réglementaire ».

Mais il est bien trop tôt pour affirmer que cette enquête va aboutir à l’interdiction totale de la plateforme dans l’UE. D’abord, aucun précédent n’existe et ne permet de prédire l’avenir de X en Europe. « L’ouverture d’une procédure formelle d’infraction ne préjuge pas de son issue », rappelle dès lors la Commission européenne. Ensuite, nul ne sait combien de temps prendra cette enquête, qui vient à peine de commencer. « La durée d’une enquête approfondie dépend d’un certain nombre de facteurs, notamment de la complexité de l’affaire, du degré de coopération de l’entreprise concernée avec la Commission et de l’exercice des droits de la défense », selon la Commission.

Enfin, les sanctions peuvent bien aller jusqu’au bannissement de l’activité de X sur le sol européen, mais seulement si la plateforme se trouve en état de récidive : le DSA prévoit qu’ »en cas de violations graves et répétées au règlement, les plateformes pourront se voir interdire leurs activités sur le marché européen ». Avant cela, la Commission peut tout à fait décider d’infliger au réseau social « des amendes pouvant aller jusqu’à 6% de (son) chiffre d’affaires mondial ».

Il est évident que les bandits de Bruxelles veulent racketter Musk pour pouvoir parader. C’est du harcèlement mafieux, purement et simplement.

Musk a échoué pour avoir rendu complexe quelque chose de simple : le premier amendement de la constitution des États-Unis, rien que le premier amendement.

Musk aurait dû dès le départ dire que tout ce qui est légal aux USA serait autorisé sur la plateforme. Au lieu de ça, il est entré dans la discussion sans fin à propos de ce qui est « moralement » admissible ou pas, exactement comme son prédécesseur. Cette discussion, par définition subjective, est toujours contrôlée par les juifs grâce à l’arme du blocus financier.

Et de l’aveu de Musk, les juifs en ont fait un usage sauvage contre lui avant même qu’il devienne PDG de Twitter.

Quand Musk a parlé de l’action de ces juifs contre Twitter, ils sont sortis du bois en hurlant.

En tout cas, il est manifeste que l’Union Européenne doit être détruite, ses dirigeants arrêtés et jugés pour trahison devant un tribunal populaire.

Une telle atteinte aux droits les plus élémentaires des non-juifs de dénoncer les abus et persécutions dont ils sont victimes ne peut pas rester impunie.

J’en profite pour inviter tous ceux qui le souhaitent à nous faire parvenir quelques shekels. Une action perfide des juifs doit toujours se transformer en occasion de lever des fonds pour combattre ces truands internationaux.

Nous demeurons le média le plus férocement censuré de France et, franchement, de l’UE.

Goyim, shekels SVP

Monero :

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