Le destructeur de simps Nordahl Lelandais père d’un bébé de 2 mois après avoir enchaîné les conquêtes amoureuses depuis sa prison

La rédaction
Démocratie Participative
12 janvier 2024

Nordahl Lelandais essaie de se racheter en donnant une leçon de vie à tous les simps qui aident les femmes à détruire la civilisation.

Le Parisien :

De nouveau condamné, mais désormais père. Ce vendredi, Nordahl Lelandais, le meurtrier du caporal Arthur Noyer et de la petite Maëlys de Araujo, a été reconnu coupable d’agression sexuelle sur l’une de ses petites-cousines par le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières (Ardennes) qui a prononcé une peine d’un an de prison à son encontre.

Désormais incarcéré à la centrale d’Ensisheim (Haut-Rhin), le célèbre détenu vient également d’endosser un nouveau rôle, en devenant père. Selon les informations du Parisien, la nouvelle compagne de Nordahl Lelandais a en effet accouché d’un petit garçon, né il y a deux mois.

Condamné en février 2022 par la cour d’assises de l’Isère pour avoir enlevé et tué la petite Maëlys lors d’un mariage en août 2017, celle-ci avait opté pour le maximum encouru : la réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une peine de sûreté de 22 ans. Six mois plus tôt, il avait déjà été condamné à vingt ans de prison pour le meurtre du caporal Arthur Noyer, toujours en 2017.

L’ancien maître-chien, emprisonné depuis cette date, ne peut donc espérer un aménagement de sa peine, et une éventuelle libération conditionnelle, avant l’expiration de cette peine de sûreté de 22 ans, soit en 2039. Il aura alors 56 ans.

« Comme tout détenu, il a le droit de reconstruire une vie derrière les barreaux. La privation de liberté n’entraîne pas la suppression des autres droits, notamment celui d’avoir une compagne ou de devenir père », commente simplement Me Mathieu Moutous, l’un de ses avocats.

Nordahl Lelandais, qui multipliait les conquêtes avant son incarcération, a également connu plusieurs relations amoureuses depuis. Des femmes qui avaient pris l’initiative de lui écrire en prison, dont l’une avait même obtenu, après de nombreux parloirs, la possibilité de le voir à deux reprises dans des unités de vie familiale (UVF). Ces petits appartements permettent, pour une durée de 24 heures, de maintenir le lien entre les détenus et leurs proches dans la plus stricte intimité.

Celle-ci avait rompu en décembre 2021, après avoir fourni illégalement à Nordahl Lelandais deux téléphones portables, mais aussi du rhum et de la cocaïne, ainsi que de nombreux cadeaux. Plus récemment, en avril 2022, encore détenu à la prison de Saint-Quentin-Fallavier (Isère), il avait été surpris en plein ébat sexuel avec une autre jeune femme lors d’un parloir. Le premier que celle-ci obtenait, après avoir entretenu une correspondance soutenue avec lui.

À la suite de cet incident, et un passage par le centre d’évaluation d’Aix-Luynes (Bouches-du-Rhône), Nordahl Lelandais a été transféré en septembre 2022 à Ensisheim. Une prison destinée aux longues peines, où il côtoie notamment les tueurs en série Guy Georges, Patrice Alègre, Francis Heaulme, ou encore Jonathann Daval.

Nordahl croûle sous les demandes de relations sexuelles de la part de femmes obsédées par lui, jusqu’à vouloir devenir une membre de son harem personnel.

Vous en avez certainement non loin de chez vous.

Nordahl n’est pas différent d’un chef de bande viking moyen du 9e siècle. À l’époque, tuer, piller, violer était la règle et plus d’une femme aurait voulu appartenir au prédateur le plus dangereux.

C’est encore vrai aujourd’hui.

Les femmes sont attirées par les hommes dominants. Les hommes dominants sont ceux qui font les règles, pas ceux qui les suivent. Toutes les règles sont fixées par la violence. Un violeur et un tueur en série est l’incarnation du hors-la-loi qui refuse les règles, mais qui fixe les siennes, arbitraires et sanglantes. Il incarne la dimension masculine la plus radicale : la domination sexuelle jusqu’au meurtre.

C’est cette sauvagerie qui attire secrètement de nombreuses petites bourgeoises blanches qui désespèrent de trouver une véritable excitation dans leur vie.

Dans cette société vagino-centrique qui traque les violeurs du cinéma pour apprendre aux mâles beta à se soumettre à l’hypergamie féminine totale, cette affaire rappelle une vérité de l’évolution : un nombre extravagant de femmes veulent être violées.

Les études américaines les plus sérieuses indiquent que 62% des femmes fantasment de se faire violer.

Les femmes qui marchent sur cette terre sont toutes biologiquement des survivantes génétiques de viol par des conquérants impitoyables.

Une femme a une chance de survivre à un conquérant en devenant son esclave sexuelle. Elle peut même bénéficier d’une fulgurante ascension sociale par ce biais.

Les femmes devraient d’ailleurs être les esclaves sexuelles des hommes, leur propriété légale.

Dieu l’a voulu.

L’inclination vers l’homme dominant varie et cela peut aller du beau parleur au malfrat, en passant par le maquereau ou le débrouillard. Mais certaines vont beaucoup plus loin. Dès qu’elles voient un homme prêt à violer et tuer, leur mémoire génétique s’enclenche pour rechercher la proximité du chef sanguinaire et produire un futur prédateur de même calibre avec lui.

C’est aussi ce qui pousse un certain nombre de traînées blanches de la classe moyenne vers des afro-maghrébins stupides et agressifs. Bien qu’ils ne servent à rien dans cette société, leur violence leur est attirante dans une société elle-même de plus en plus violente, du fait de l’immigration. La passivité de l’homme blanc, domestiqué par l’État, leur signale qu’ils ne sont pas à la hauteur de leur tâche biologique.

Aux USA, ce phénomène des groupies à assassins est très connu. En taule, ce genre de fauves est de fait facilement accessible et sous contrôle, ce qui permet aux femmes de les approcher sans vraiment craindre pour leur vie.

Charles Manson avait ses femmes durant toute sa vie en prison, comme tous les tueurs en série.

Un assassin d’enfant comme Lelandais a plus de succès avec les femmes que la plupart des hommes en France. C’est ainsi et ce sera toujours ainsi, parce que la nature des femmes ne changera jamais.

La nature de l’homme non plus ne change pas, c’est pourquoi les femmes doivent être tenues en laisse par un système patriarcal implacable.

Faute de quoi, elles cherchent à le restaurer en détruisant l’ordre naturel, ce qui oblige la loi du plus fort – donc de l’homme – à prévaloir à nouveau.

C’est la loi cosmique, éternelle. Tout principe contient sa propre contradiction qui le rend éternellement complémentaire de son antagonisme.

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