Frank Tapiro : « La haine des Juifs est à la mode chez les jeunes, partout dans le monde »

La rédaction
Démocratie Participative
21 décembre 2023

 

C’est inexplicable, c’est métaphysique !

Non, la haine des juifs n’est pas « à la mode » chez les jeunes. C’est le philosémitisme, l’amour des juifs, qui a été une mode, très brève et anormale, à partir de leur ascension en Occident. La haine envers les juifs est le sentiment habituel des masses depuis millénaires.

Ce philosémitisme a pris forme avec la conquête des sociétés blanches par le juif sous l’ère démocratique. Avec l’apparition du national-socialisme, le contre-poison de cette conquête en Allemagne, le philosémitisme est devenu dans les démocraties une norme sociale à respecter sous peine de marginalisation.

En France, le philosémitisme a commencé à émerger avec la non-affaire Dreyfus, dans les 1890, et est devenu le ciment de la gauche à partir de cette date. La gauche, unie dans un même rejet de l’Église Catholique et du cléricalisme bourgeois, a naturellement été le terreau social des sergent recruteurs du judaïsme révolutionnaire. Le régime républicain provenant lui-même de la gauche, la droite française, en s’y ralliant, a été colonisée à son tour par le philosémitisme au point de devenir spirituellement juive.

Tout cela a finalement culminé le 14 novembre avec ce vaste rassemblement « pour la république, contre l’antisémitisme ».

Sauf que, pour la première fois, la gauche manquait à l’appel, marquant le renversement de leur alliance historique.

C’est la génération des boomers, née après la guerre, qui s’est forgée une anti-identité, foncièrement négative et toxique, sur la base de l’antiracisme, c’est-à-dire de l’empêchement de vitalité raciale blanche, par opposition au fascisme, construite sur la haine collective de soi.

Avec la montée en puissance de la génération des boomers à partir des années 1960 et 1970, cette haine de soi blanche couplée à l’admiration du juif, présentée en victime éternelle de l’homme blanc, a servi de nouveau cadre culturel et psychologique.

Le cinéma a été inondé de ces productions.

L’une d’entre elles, très connue, est le film Dupont-Lajoie. C’est l’histoire d’un Français de la classe moyenne, lâche et pervers, qui tue une jeune fille après avoir essayé de la violer. Pendant qu’il se défausse, une ratonnade est organisé contre des ouvriers maghrébins suspectés du meurtre.

C’est ce genre de films qui explique le déroulement de l’affaire Crépol et de la chasse aux Blancs qui a suivi la manifestation de Romans-sur-Isère.

Les boomers ont absorbé tous les réflexes du reconditionnement juif, nous ont inondés de leurs slogans, contraints à visionner toute la production destinée à vénérer les juifs.

C’est à eux que nous devons les procès spectacles concoctés par les juifs pour mettre en scène la condamnation de la race blanche.

Avec l’évaporation des boomers, leurs névroses s’effacent progressivement et les juifs se retrouvent seuls, bien trop visibles pour les nouvelles générations qui sont imperméables à la « mémoire » obligatoire dont parle Vincent Reynouard.

Les crimes des juifs à Gaza satisfont peut-être temporairement leur soif de sang, mais c’est une erreur grave qu’ils ont commise. Ils ont cru que leur position était celle de 1946, quand ils étaient en mesure de tout extorquer. Ce n’est plus possible dans un monde où les démocraties occidentales qui sont sous leur coupe ne représentent plus que la moitié de l’économie mondiale.

Le reste du monde est insensible au chantage juif. Il ne reste plus que ces pays blancs, ou anciennement blancs, effondrés, cacochymes, accrochés au juif parce qu’ils le croient encore omnipotent.

Nous pouvons dormir tranquilles, la haine du juif va reprendre toute sa place légitime.

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