La vaginocratie sous le choc après le raz-de-marée de dons pour le nouvel album de Bertrand Cantat

La rédaction
Démocratie Participative
09 février 2024

Bertrand Cantat, martyr de la cause masculine

C’est une victoire pour les hommes, surtout s’ils sont blancs et hétérosexuels.

France Info :

Bertrand Cantat, condamné à huit ans de prison pour le meurtre de sa compagne Marie Trintignant en 2003, est parvenu à financer en quelques heures son nouvel album grâce à des dons en ligne sur la plateforme Ulule.

L’ex-chanteur de Noir Désir travaille, avec son groupe Détroit, à la sortie d’un album pour la fin de l’année 2024. Pour le financer, le trio formé par Bertrand Cantat, Pascal Humbert et Jérémie Garat, a lancé mercredi une cagnotte sur le site de financement participatif Ulule. L’objectif était de récolter 60 000 euros, et en « douze heure 110 000 euros » avaient été récoltés, soit près du double, salue Détroit sur Facebook. Ce vendredi matin, la cagnotte s’élève à plus de 127 700 euros, à travers plus de 2 000 dons, et ne cesse d’augmenter.

Face à cet engouement, plusieurs personnalités féministes ont annoncé boycotter Ulule. La réalisatrice Elvire Duvelle-Charles, à l’origine du compte Instagram « Clitrevolution », a ainsi posté ce message : « Nous ne financerons plus nos projets sur Ulule ».

« Clitrevolution »

Message republié notamment par les journalistes Lauren Bastide et Elsa Wolinski. Elvire Duvelle-Charles appelle par ailleurs « toutes les féministes » à se détourner d’Ulule. Elle précise sur Instagram que Bertrand Cantat est « libre d’autoproduire son album, Ulule est libre de l’accompagner et nous sommes libres de ne plus aller » sur le site.

Cette polémique a poussé Ulule à réagir sur les réseaux sociaux. « Bien que ce projet n’ait rien d’illégal, nous ne souhaitons pas associer Ulule à ce que Bertrand Cantat représente pour les victimes de violences conjugales », affirme le site de financement participatif dans un communiqué de presse publié sur Instagram.

La plateforme explique qu’elle n’avait pas fait « le lien entre le groupe de musique Détroit et Bertrand Cantat », le nom du chanteur « n’étant pas mentionné dans le titre et le sous-titre du projet ». Elle précise d’ailleurs que ce projet « a créé un énorme malaise au sein de [son] équipe ». Ulule a donc décidé « dès le 7 janvier de ne donner aucune visibilité à ce projet » à travers ses réseaux sociaux. Elle entend aussi « reverser l’intégralité de [sa] commission sur ce projet à une association d’aide aux femmes victimes de violences conjugales ».

Ulule présente également ses « excuses à toutes les personnes qui sont choquées et ne comprennent pas qu’Ulule puisse héberger cette collecte de fonds ». La plateforme se justifie, en rappelant qu’elle ne peut arrêter une cagnotte en cours que « si son objet ou ses contenus présentent un caractère illégal, ou contreviennent aux conditions d’utilisation d’Ulule, ce qui n’est pas le cas de celle-ci ».

Encore une victoire du destructeur de traînées Bertrand Cantat, héraut du droit suprême des hommes de disposer de la vie des femmes dès lors qu’elles les poignardent dans le dos.

Le plus drôle dans cette histoire, c’est que sur les 2,000 dons que Cantat a reçus pour son futur album, une large part est le fait de femmes qui l’admirent encore plus depuis qu’il a éclaté la tête de Marie Trintignant à coups de poing.

C’est une vérité éternelle, de nombreuses femmes sont attirées sexuellement par les hommes dangereux, violents, encore plus lorsqu’ils sont des musiciens.

CNews n’a pas pu s’empêcher de nuire aux hommes blancs pour défendre les garces du showbusiness juif. Praud estime que les mecs doivent cesser de vivre à chaque incident impliquant une garce.

C’est extravagant. Marie Trintignant est morte il y a 21 ans et nous avons encore toute cette coalition de féministes et de perturbateurs juifs du showbiz pour s’exciter contre Cantat qui n’a fait que se défendre d’une traînée toxique, hystérique, qui couchait d’ordinaire avec des juifs.

Revenons à l’essentiel : le droit romain. À Rome, l’homme disposait du droit de vie et de mort sur sa femme, mais dans des circonstances précises. Romulus a édicté deux cas qui permettent au pater familias de mettre à mort sa femme. Le premier, l’adultère, et le second, la consommation de vin.

Pour les Romains, les femmes qui consomment du vin, c’est-à-dire de l’alcool, finissent invariablement par devenir des traînées.

Le droit de vie ou de mort sur la femme était également reconnu par les Gaulois. Ceux-ci avaient le droit d’interroger sous la torture les femmes lorsque leurs maris meurent dans des conditions suspectes.

Cette sagesse antique doit être rétablie. Si elle était en vigueur, Bertrand n’aurait pas injustement passé 4 ans derrière les barreaux pour avoir discipliné une traînée.

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