Nous y sommes : Macron annonce la possibilité d’envoyer des troupes au sol en Ukraine

La rédaction
Démocratie Participative
27 février 2024

 

Et bien, ce n’est pas faute d’avoir prévenu nos lecteurs.

Les juifs sont frénétiques à l’idée du carnage.

 

Les Polonais salivent déjà à l’idée de déclencher encore une fois une guerre mondiale.

Le président polonais, Andrzej Duda, a déclaré que le principal sujet débattu lors du sommet international qui s’est tenu aujourd’hui en France était le déploiement de forces terrestres de l’OTAN en Ukraine. Un certain nombre de pays alliés ont affirmé être déjà prêts ou se préparer à une telle opération, tandis que plusieurs autres ont déclaré qu’il fallait au moins en discuter.

Nous allons publier une vidéo d’un entretien de Tucker Carlson sous-titrée en français qui permettra à nos lecteurs de mettre les pièces du puzzle ensemble.

En résumé, l’oligarchie occidentale sait que les dettes souveraines vont imploser et qu’une vague de révolutions mettant à bas le système construit autour du dollar en 1945 est inévitable. En pareil cas, les démocraties décident toujours d’attaquer des pays tiers pour les piller et se refaire financièrement. Au vu de la masse de dettes existantes, seule la conquête d’un pays aussi riche en ressources que la Russie peut amortir un tel effondrement.

Une guerre contre la Russie suppose, pour l’isoler, de ne plus avoir accès à ses ressources, ce que le Pentagone a réalisé par deux moyens : la guerre en Ukraine et la destruction de Nord Stream 2.

Le mythe du « réchauffement climatique » permet de justifier les conséquences immédiates de la fin de l’accès à l’énergie russe à bas coût. Il s’agit d’organiser verticalement la baisse brutale du niveau de vie en convainquant la population du bien fondé d’une réduction drastique de l’offre et du rationnement – moins de viande, de voitures personnelles, etc. – induite par l’énergie chère.

L’imposture climatique est une opération de guerre psychologique généralisée.

Désigner un ennemi extérieur – Russie, Iran, voire Chine – permet aussi de contenir les troubles sociaux qui résultent de cet appauvrissement instantané. Des mesures d’urgence sont prévues comme le couvre-feu permanent ou le traçage de la population.

Le COVID, initié par le Pentagone, visait à tester une crise à grande échelle et la stratégie nécessaire pour la contenir du point du système : désigner à la masse un ennemi externe (le virus venu de Chine), désigner à l’opinion des « traîtres » intérieurs (les non-vaccinés), et instaurer une société de surveillance totale avec le contrôle de l’internet et des déplacements.

Il n’a jamais été question de lutter contre un virus imaginaire, mais d’apprendre à contrôler des sociétés en guerre avec les technologies du 21e siècle. Le COVID est la répétition générale de la guerre que prépare depuis au moins 2014 l’élite occidentale.

Le système joue sa survie et il doit entrer en guerre, la résistance inattendue des Russes, du point de vue de l’OTAN, rend inévitable l’intervention directe de l’OTAN en Ukraine même, ou, alternativement, des provocations depuis des états frontaliers de la Russie pour forcer celle-ci à élargir son front.

Il n’y a pas de retour en arrière possible.

Indépendamment du fait que Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon sont ce qu’ils sont, le système ne leur accorde aucune confiance car ils n’appartiennent pas à l’élite dirigeante, acquise à la guerre. Même s’ils obéissaient, ils pourraient toujours flancher face à la pression de leur base.

La poussée générale des mouvements populistes, aux USA, avec Trump, ou en Europe, prouve au système que ce n’est pas un phénomène conjoncturel. En particulier la réélection de Trump susciterait une paralysie de l’OTAN et un désastre en Ukraine.

Ces gens ne vont pas attendre et déposer un cierge à l’église. Ils vont inévitablement truquer une nouvelle fois les élections présidentielles américaines, déclarer le résultat truqué, etc..

L’escalade contre la Russie est directement liée à cette nécessité de maintenir sous contrôle les sociétés occidentales au bord de la rupture financière et politique.

Pour pousser l’opinion dans la guerre, ou la fracturer suffisamment pour la mouvoir dans la direction voulue, les services de l’OTAN pourront monter des opérations sous faux drapeau et accuser les services, contre une centrale nucléaire française par exemple.

Je suggère très vivement aux anciens militaires susceptibles d’être rappelés d’étudier toutes les options pour quitter le territoire français immédiatement avant qu’il ne soit complètement verrouillé, comme durant le COVID. Face à la crise d’effectifs, ils seront les premiers à être convoqués pour aller mourir pour les juifs. Outre les pays sans accord d’extradition avec la France, la Russie, via la Turquie, est une solution de repli.

La conscription sera rétablie tôt ou tard, le SNU est sa phase psychologique préparatoire. La conscription n’est pas la mobilisation générale, c’est la possibilité pour le gouvernement de choisir qui bon lui semble pour l’expédier au front. Les allogènes ne risquent rien, ils seront systématiquement exemptés.

Une campagne anti-guerre doit être initiée dans les plus brefs délais, avec l’appel explicite au refus de soutenir non seulement l’entrée en guerre, mais de refuser la conscription. La lutte contre le SNU est un bon moyen de mobiliser les jeunes contre le système.

Ce mouvement anti-guerre sera la base révolutionnaire pour précipiter la chute du régime dans les prochaines années à venir.

Cette fois, c’est la guerre de trop pour ces démocraties juives.

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